Attention ! On raconte n’importe quoi sur le Gabon. Y compris sur ce blogue. Un seul exemple, en presque trois semaines dans le pays, je n’ai pas bu une seule Regab.
L’accueil généreux d’Estelle et de Gaby-La-Gabonnaise nous a permis de pénétrer l’ambiance du pays, avec les joyeux taxis librevillois, les hardis chants des coqs, la qualité de la préparation des élections et le manioc ou bananes qui accompagnaient, au choix, les antilopes, crocodiles ou capitaines.
Pour qui voudrait résumer le Gabon, il faudrait comparer à une immense forêt entrecoupée de fleuves, lacs et lagunes. Notre découverte en saison sèche nous interdit de parler des qualités de la saison humide, mais permet juste d’affirmer que les températures glaciales du mois d’août nous convenaient parfaitement.
La sécheresse nous a interdit également de voir - et nous enfuir devant - les éléphants, gorilles, buffles ou autres crocodiles, pour nous contenter de la découverte faunistique des araignées, fourmis et crabes, traces de pythons … et finalement suffisamment de moustiques.
Ici, une approche sportive des grands singes.
Nos rencontres furent toujours édifiantes et pédagogiques. Ainsi, à un contrôle entre Libreville et Lambaréné, le préposé assermenté nous fit comprendre la gravité de se promener sans notre certificat de vaccination contre la Fièvre Jaune, car nous serions alors à la merci de la Grippe Porcine.
Il a fallu se rendre au Gabon pour assister à notre première partie de foot-ball. Et constater l’écrasante victoire de l’équipe – promise à une haute destinée – de Sette Cama.
Photo Quizz : d’où peut-on admirer ce coucher de soleil ?
Du balcon du Hilton de Libreville ?
Du balcon de Gabrielle et Estelle ?
De Cleube Mède ?
De Roissy ?
Sur une pube d’Air Gabon ?